Flashback - La saga Terminator

Le Saloon - Un pódcast de Le Saloon

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Après l’épisode sur RAMBO, qui nous a permis de crier notre amour pour Sylvester Stallone, on va à nouveau faire les beaux yeux aux gros muscles et aux gros flingues, mais cette fois-ci à ceux d’Arnold Schwarzenegger, qui réendosse en ce moment au cinéma dans TERMINATOR : DARK FATE, son personnage de robot futuriste qui voyage dans le temps, pour tuer ou pour protéger Sarah Connor. Forcément, on va louer un culte à Schwarzy, mais aussi au réalisateur James Cameron qui est à l’origine de cette saga de science-fiction culte débutée en 1984, qui a profondément marqué le cinéma et la pop culture. L’histoire de TERMINATOR débute alors que James Cameron n’a pas encore fait TITANIC et AVATAR. Mais il signe là son premier grand film et son premier carton. À l’époque il était responsable d’effets spéciaux ou directeur artistique, et n’avait signé qu’un court métrage, XENOGENESIS, qui mettait déjà en scène un héros mi-homme mi-machine, et un long-métrage d’horreur, PIRANHA 2. Passionné par la science-fiction, la cybernétique, la technologie, l’intelligence artificielle et le voyage dans le temps, c’est à la suite d’un rêve, celui d’un torse métallique sorti d’une explosion qui s’empare d’un couteau pour le menacer, qu’il donne naissance à TERMINATOR, avec le bodybuilder Arnold Schwarzenegger dans le rôle titre. Immense succès inattendu qui permettra à Cameron de signer une suite en 1991, le chef d’œuvre d’action TERMINATOR 2 : LE JUGEMENT DERNIER. Et depuis… Cameron s’est distancé de sa franchise après l’avoir lancée pour mieux s’occuper des projets qu’on lui connaît. Naitront alors les suites plutôt discutables TERMINATOR 3 : LE SOULEVEMENT DES MACHINES de Jonathan Mostow, en 2003, TERMINATOR RENAISSANCE, mais sans Schwarzy, de McG en 2009, et même le reboot que l’on préfèrerait carrément oublier TERMINATOR GENISYS d’Alan Taylor, en 2015. Une émission animée par Alexandre Caporal avec Charlotte Klinke, Thomas Gerber et Thibaud Ducret

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